Tania (prénom modifié) est éducatrice sociale en Suisse (en France, on dit “éducatrice spécialisée”). Elle vient d’Europe de l’Est, a vécu la guerre dans son pays, et habite en Suisse depuis maintenant 20 ans. Un jour, sa fille de 13 ans lui dit qu’elle était un garçon. Elle en est finalement revenue. Depuis, Tania s’engage sur le terrain auprès de parents qui ont vécu la même situation qu’elle, dans le but de les soutenir. Voici son témoignage.
Le lycée catholique St. Joseph’s en Ontario (Canada) a exclu un étudiant nommée Josh Alexander, au motif que ce dernier a affirmé que seuls deux sexes existent. Josh Alexander a été arrêté par la police…
Dans un article publié le 25 Janvier 2023, la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) encourage les familles de personnes qui se déclarent transgenres, à ne surtout pas questionner cette démarche et à l’accueillir positivement. S’il est plutôt bienvenue qu’une institution étatique se préoccupe de la santé des personnes trans, il est en revanche regrettable qu’elle omette d’interroger les personnes qui observent des effets délétères que peut entrainer une transition sur la santé (corps médical, collectifs de parents d’enfants trans, personnes detrans, etc). Décryptage.
Depuis quelques années, les voix des personnes détrans s’élèvent sur internet. Être “détrans”, c’est avoir voulu changer de sexe, avoir pris des traitements hormonaux et/ou subi des chirurgies dites de “réassignation sexuelle”, puis faire machine arrière. C’est le cas de Prisha Mosley. Entretien.
L’idéologie trans est une idéologie de l’auto-détermination : ainsi, chaque homme qui se déclare femme est considéré comme telle et vice versa. L’un de ses effets pervers et donc que les statistiques concernant la répartition des tâches domestiques, l’inégalité salariale, la répartition du temps de parole femmes/ hommes dans les médias, mais aussi la criminalité peuvent se retrouver faussées.
C’est l’un des dangers de l’idéologie de l’auto-détermination : si n’importe quelle personne qui se déclare femme en est une, alors des agresseurs peuvent en profiter pour accéder à des espaces non-mixtes. Ainsi, certains pédocriminels transidentifiés (dits “femmes trans”), tentent de se faire passer pour des femmes et sont souvent incarcérés dans des prisons pour femmes.
Certains pédocriminels transidentifiés (dits “femmes trans”), déclarent être des femmes sans même faire l’effort de mettre une perruque ou du rouge à lèvre pour tenter de nous duper au sujet de leur soit disant “dysphorie de genre”.
Le magazine argentin Ñ a publié une couverture extrêmement dérangeante pour son numéro du 8 Octobre 2022. On peut y voir un homme transidentifié tenant un nourrisson dans ses bras, et faisant mine de l’allaiter.
Le bien-être et le développement des enfants est menacé par le transgenrisme. Focus sur un phénomène inquiétant : quand des cliniques privées font les promotion des transitions de genre sur les réseaux sociaux.