Elles sont quatre. Depuis 2016, elles comptabilisent les féminicides conjugaux afin que les victimes ne tombent pas dans l’oubli. Afin d’alerter. Dénoncer. Demander la fin de ce massacre. Sans leur travail bénévole, aucune mobilisation autour des féminicides n’aurait été possible en France. Entretien avec l’une d’entre elle.
L’information provient du média anglophone Reduxx. Les faits se déroulent dans le Kansas. Monsieur Thomas Preston Lamb, un assassin âgé de 81 ans, exige désormais d’être nommé “Michelle Renee Lamb”. Ce monsieur s’est mis à affirmer cette nouvelle identité alors qu’il était incarcéré pour avoir tué une femme, et kidnappé une autre. Il a donc été transféré ce 27 Janvier 2023, dans une prison pour femmes.
L’information provient du journal The Daily Mail. En Écosse, Monsieur Graham Adam, s’identifiant comme femme et reconnu coupable d’avoir violé deux femmes sera détenu dans une prison pour femmes dans l’attente du verdict (attendu pour le 28 Février 2023). Encore un exemple frappant de la façon dont l’idéologie de l’auto-détermination qu’est le transgenrisme peut impacter gravement la sécurité des femmes.
L’idéologie trans est une idéologie de l’auto-détermination : ainsi, chaque homme qui se déclare femme est considéré comme telle et vice versa. L’un de ses effets pervers et donc que les statistiques concernant la répartition des tâches domestiques, l’inégalité salariale, la répartition du temps de parole femmes/ hommes dans les médias, mais aussi la criminalité peuvent se retrouver faussées.
C’est l’un des dangers de l’idéologie de l’auto-détermination : si n’importe quelle personne qui se déclare femme en est une, alors des agresseurs peuvent en profiter pour accéder à des espaces non-mixtes. Ainsi, certains pédocriminels transidentifiés (dits “femmes trans”), tentent de se faire passer pour des femmes et sont souvent incarcérés dans des prisons pour femmes.
Certains pédocriminels transidentifiés (dits “femmes trans”), déclarent être des femmes sans même faire l’effort de mettre une perruque ou du rouge à lèvre pour tenter de nous duper au sujet de leur soit disant “dysphorie de genre”.
Le magazine argentin Ñ a publié une couverture extrêmement dérangeante pour son numéro du 8 Octobre 2022. On peut y voir un homme transidentifié tenant un nourrisson dans ses bras, et faisant mine de l’allaiter.
Le bien-être et le développement des enfants est menacé par le transgenrisme. Focus sur un phénomène inquiétant : quand des cliniques privées font les promotion des transitions de genre sur les réseaux sociaux.